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Le Racing Strasbourg : Quel désastre !

Une nouvelle saison, une nouvelle  misère,  est entamée. Malgré la grosse claque enregistrée à Istres en coupe de la Ligue, les supporters du Racing espéraient (au moins) une entame de championnat (à peu près) correcte. Dans un contexte favorable avec un match à domicile face à Chateauroux qui aura comme seul objectif de se maintenir à ce niveau, un premier résultat positif semblait logiquement possible. Hélas…

Pas du tout à la hauteur

J’ai eu la chance (ou la malchance) de suivre ce match d’ouverture sur « Ma chaine sports ». Pendant les premières minutes, les bleus, beaucoup trop verts, semblaient prendre les choses en main. Ils profitèrent même d’une défense adverse mal inspirée pour ouvrir le score, manquèrent ensuite de justesse le 2-0 et puis, plus rien !

Ce public qui y croyait malgré tout... 

Quelques 13000 spectateurs étaient présents. Ils y croyaient peut être plus que ces joueurs au football sans âme, jouant à contre sens, exposés à des attaques adverses les mettant chaque fois mal à l’aise. Ils y croyaient même un peu plus que ce Gilbert Gress refusant de parler du match avant le coup d’envoi, donnant rendez vous à la journaliste pour le coup de sifflet final mais s’éclipsant très vite dès la fin du match. Ce public y croyait plus que tout le monde, plus que le président Specht qui fit également faux bond à la journaliste pour l’interview à la mi-temps qu’il passa enfermé dans les vestiaires.

Président et entraîneur se cachent...

Qu’à bien pu dire le patron et son technicien à leurs joueurs ? Certainement qu’ils sont indignes de porter le maillot d’un club représentant la capitale de l’Europe ou au moins de l’Alsace… Qu’ils devront revoir leur ABC du football… Peut-être. Et Gilbert Gress dans tout cela ? Il voulait, voilà quelque temps, sauver Metz. Cela n’a pas marché. Aujourd’hui à la tête du Racing, cela ne marchera pas mieux. Et, comme il dispose d’un effectif de grandes vedettes sur le rectangle vert, il sera bien difficile de faire avancer le navire.

Ce bateau ne peut que couler...

Au vu de la prestation proposée par ces VEDETTES, ce bateau là ne peut que couler très vite. Pourtant, Gress est annoncé comme un messie alors que les miracles n’ont lieu qu’à Lourdes (de temps en temps) mais pas à Strasbourg (jamais). Finalement, M. Furlan au beau sourire, celui qui a fait descendre le club en Ligue 2 et qui est reparti les poches pleines (récompense pour son « excellent » travail) doit afficher un large sourire. Au moins un qui rigole dans son coin…

Donnez moi votre avis 

Et vous ? Qu’en pensez vous ? N’hésitez pas à vous exprimer en commentaires. Certaines réflexions prendront peut-être la direction de Stasbourg, même si elles ne feront ni chaud, ni froid à ce pauvre Racing !